Quand solliciter
de l’aide
Demander des conseils sur la fertilité peut être un grand pas si vous ne savez pas par où commencer. Chez Conceptia, nous sommes là à chaque étape du processus pour répondre à toutes vos questions.
Il est important de se rappeler qu'il n'existe pas d'expérience unique en matière de fertilité, car les besoins de chaque patient sont différents. Environ 1 personne sur 6 essayant de concevoir un enfant rencontre des problèmes de fertilité, mais il existe de nombreuses options pour vous aider à réaliser votre rêve de devenir parent.
Si vous essayez de concevoir depuis un certain temps, discutez-en avec votre médecin de famille afin d'obtenir une référence à Conceptia. Lors de votre consultation chez Conceptia, notre équipe travaillera avec vous pour élaborer le plan de traitement le mieux adapté à vos besoins, afin d'optimiser vos chances de concevoir.
Quand est-il temps de solliciter de l'aide pour la fertilité ?
De nombreux facteurs peuvent avoir un impact sur la fertilité, et un spécialiste de la fertilité peut vous aider à évaluer vos besoins et vous proposer des options de traitement. Plus tôt vous consulterez un spécialiste pour faire diagnostiquer et traiter votre problème, meilleures seront vos chances de concevoir un enfant.
Vous devriez consulter un spécialiste de la fertilité si vous correspondez à l'une des descriptions suivantes :
Vous êtes une femme âgée de moins de 35 ans et vous cherchez à tomber enceinte depuis au moins 12 mois.
Vous êtes une femme âgée de plus de 35 ans et vous cherchez à tomber enceinte depuis au moins 6 mois.
Vous avez un cycle menstruel irrégulier ou très espacé (en dehors du cycle régulier de 26 à 34 jours).
Vous avez eu une infection pelvienne.
Vous avez reçu un diagnostic d'endométriose.
Vous avez subi plus de deux interruptions de grossesse. Bien que de nombreuses femmes qui ont fait des fausses couches aient ensuite des grossesses saines, les pertes de grossesse peuvent être le signe d'un problème de fertilité.
Vous souffrez du syndrome des ovaires polykystiques (également connu sous le nom de SOPK). Cette affection n'est souvent pas diagnostiquée avant qu'une personne ne commence à vouloir concevoir un enfant, et ses symptômes peuvent inclure des règles irrégulières, de la graisse autour du ventre, de l'acné et des cheveux clairsemés sur la tête. Le SOPK est l'une des causes les plus fréquentes d'infertilité.
Vous avez des antécédents familiaux de ménopause précoce ou vous présentez un risque de ménopause précoce.
Vous avez des antécédents d'infection (par exemple, les oreillons), de blessure ou d'intervention chirurgicale sur vos testicules, ou on vous a diagnostiqué un problème de sperme.
Votre partenaire et/ou vous-même avez un problème de santé connu qui peut avoir un impact sur votre fertilité, notamment le diabète, l'hypertension artérielle ou des antécédents de cancer traité par chimiothérapie ou radiothérapie.
Vous avez besoin d'aide pour avoir un enfant car vous n'avez pas accès à du sperme, des ovules ou un utérus.
Veuillez noter que la vaccination contre la rubéole et la varicelle sont des conditions préalables pour toutes les femmes qui souhaitent recevoir un traitement de fertilité à la clinique.
Causes des problèmes
de fertilité
Les problèmes de fertilité touchent aussi bien les femmes que les hommes, mais une partie des causes des problèmes de fertilité restent inexpliquées. Cependant, même si la cause ne peut pas être diagnostiquée, nous pouvons toujours vous aider.
Certaines des causes les plus courantes des problèmes de fertilité sont énumérées ci-dessous.
L'âge est une cause majeure des problèmes de fertilité. Diminuant progressivement à la fin de la vingtaine, la fertilité chute après l'âge de 37 ans. Cela est dû aux différences entre les ovules vieillissants et les ovules plus jeunes, les premiers ne pouvant être fécondés, s'implanter et répondre aux médicaments de stimulation aussi bien que les seconds, et présentant un risque accru de fausses couches et d'anomalies chromosomiques dans les embryons.
L'aménorrhée désigne l'absence de règles. Elle se divise en deux types différents : l'aménorrhée primaire est généralement détectée chez les femmes qui n'ont pas eu de règles avant l'âge de 16 ans ; l'aménorrhée secondaire est diagnostiquée chez les femmes qui ont peut-être déjà eu des règles, mais qui ne les ont pas eues pendant une période de 3 à 6 mois ou plus.
L'endométriose désigne le tissu endométrial qui se développe à l'extérieur de la cavité utérine. Les patientes atteintes d'endométriose peuvent rencontrer des problèmes de fertilité, car le tissu endométrial peut s'implanter dans la cavité abdominale et produire du tissu cicatriciel, une inflammation ou des adhérences liant les trompes de Fallope, les ovaires et les intestins. Ces adhérences peuvent à leur tour réduire les chances de conception en affectant la collecte des ovules par les trompes de Fallope ou la libération des ovules par les ovaires.
L'obtention d'une grossesse dépend de la production d'un ovule fécondable chaque mois, pour laquelle une série complexe d'étapes doit se dérouler. Un faux pas dans cette série peut vous empêcher de tomber enceinte, ce qui explique pourquoi les troubles ovulatoires sont la cause la plus fréquemment diagnostiquée de l'infertilité féminine.
Les conditions ovulatoires qui peuvent affecter ou empêcher l'ovulation sont les suivantes :
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
Maladie de la thyroïde
Hyperprolactinémie, l'hyperproduction d'une hormone supprimant l'ovulation et stimulant la production de lait
Faibles niveaux d'hormones de fertilité (Aménorrhée hypothalamique, FSH et LH)
Insuffisance ovarienne prématurée
Changement de poids extrême (perte ou gain)
Exercice excessif
Troubles de l'alimentation
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et la maladie des ovaires polykystiques (MOPK) sont des troubles endocriniens, et l'une des causes hormonales les plus courantes de difficultés pour les femmes qui essaient de concevoir un enfant. La production d'ovules des femmes atteintes du SOPK et de la MPOC est affectée par un déséquilibre de leur taux d'hormones. Cela a une incidence sur leurs cycles menstruels, certaines connaissant une ovulation irrégulière (souvent moins de huit cycles par an), tandis que d'autres peuvent avoir plusieurs longues périodes de saignement par mois.
Décrite comme une grossesse perdue au cours des 20 premières semaines de gestation, 15 à 20 % des grossesses se terminent par une fausse couche. La majorité des fausses couches surviennent au cours du premier trimestre de la grossesse et augmentent avec l'âge, avec un risque de plus de 50 % pour les femmes de plus de 45 ans.
Lorsqu'une femme fait plus d'une fausse couche, on parle d'interruption de grossesse récurrente. Les causes sont multiples, mais la plus courante est une anomalie chromosomique de l'embryon. Les interruptions de grossesse récurrentes peuvent également être causées par des fibromes utérins ou des anomalies de forme, des anomalies génétiques, des troubles hormonaux, des infections ou des facteurs immunologiques.
Un quart des femmes en mal de fertilité apprennent que leurs trompes de Fallope, qui jouent un rôle essentiel dans la réussite de la fécondation et de la grossesse, en sont la cause. Pour ces patientes dont les trompes sont endommagées, des techniques innovantes offrent un moyen d'avoir des grossesses saines.
Pour certains patients, les causes des problèmes d'infertilité restent inexpliquées par des facteurs communs et identifiés - c'est-à-dire une ovulation, un sperme, des trompes de Fallope et une cavité pelvienne normaux. Cette situation est décrite comme une fertilité inexpliquée et, selon l'âge et la durée de l'infertilité, elle réduit de 30 % les chances de conception naturelle. Votre médecin chez Conceptia peut recommander des traitements avancés tels que l'IUI et la FIV si vos difficultés sont identifiées comme une infertilité inexpliquée.
Environ 2 cas sur 5 de problèmes de fertilité sont causés par des problèmes de sperme, dont les formes les plus courantes sont l'azoospermie (absence de spermatozoïdes dans l'éjaculat) ou l'oligo-asthéno-tératospermie (OATS) (spermatozoïdes de faible concentration, de mobilité réduite et de morphologie anormale). En dehors de ces conditions, la quantité et la santé des spermatozoïdes d'un homme peuvent également être affectées par la nutrition, l'exercice physique et des habitudes malsaines (consommation d'alcool, de tabac, de drogues récréatives).